De toute mon enfance, ce n’est pas Ocarina Of Time, Halflife ou encore Doom qui ont marqué ma vie de joueur. Le jeu qui a changé toute ma vision de ce monde, c’était un petit jeu indé appelé The Legend Of Zelda : Link’s Awakening.
L’histoire est pas compliquée, on y joue Zelda, échoué sur l’ile de Cocolint après une terrible tempête. Voilà. Démerde toi.
J’ai passé tellement de temps à admirer ce jeu sur GameBoy, à écouter ses musiques splendides, à profiter de son gameplay maîtrisant parfaitement les limites hardware de la GameBoy que de le redécouvrir sur Nintendo Switch bah ça me fait tout chose, j’ai des guilis dans le bas du ventre et tout.
Alors oui, le jeu est pas spécialement long, mais qu’est-ce qu’il est cool! Les PNJ pompés de tout l’univers Nintendo en font une espèce de all star d’avant l’heure. Et puis l’humour, le vrai. Pas comme celui de Borderlands. Enfin qu’est ce que je connais de l’humour, je suis qu’un gosse.
Couplé à la sortie de la Nintendo Switch lite, on a le meilleur Zelda portable sur la meilleure console portable Nintendo encore en fabrication. Il est intéressant de voir Nintendo aborder le sujet zelda dans une autre optique que la 3D néo-classique qu’on lui connait depuis OcarinaOfTime où ce dernier se baladait dans sa tunique verte au milieu des Kokiris. Les Zeldas 2D auront toujours leur place dans ma ludothèque.
Reste plus qu’à être riche et pouvoir acheter les Amiibo afin de débloquer toutes les tuiles de chez Igor.
Un seul conseil, si vous voulez acheter un jeu pour occuper un voyage en car, train, bateau, avion, navette spatiale ou USS Enterprise, prenez Zelda Link’s Awakening sur Nintendo Switch.
60-fps.com 